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Parole d'experts > Peer to peer

Peer to peer (1)
Par Carlo Revelli
Pr�sident Directeur G�n�ral de Cybion

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Le concept du P2P ("peer to peer") est tr�s � la mode depuis presque deux ans essentiellement gr�ce � Napster, le c�l�bre logiciel qui permet de partager et de trouver des fichiers MP3 sur Internet. Tr�s vite, de nombreuses autres applications se basant sur la m�me approche ont vu le jour ces derniers mois. Gr�ce � ce type de technologies, les utilisateurs qui disposent d'un logiciel de type P2P peuvent se relier directement entre eux, souvent sans besoin d'un serveur central, de mani�re � pouvoir �changer librement les fichiers qu'ils souhaitent partager sur leurs disques durs. Jusqu'� cette date cette technologie a �t� utilis�e dans deux optiques presque oppos�es :

  • d'un c�t� on retrouve toutes ces applications "ludiques" qui favorisent le partage de musiques, de jeux, d'images ou de vid�os parfois pirat�s ou � caract�re pornographique (Napster, Kazaa, Rapigator, Nudester, Imesh�)
  • de l'autre c�t�, on a acc�s � des logiciels qui permettent de partager la puissance de calcul de votre ordinateur souvent pour des causes humanitaires ou dans une optique de recherche (Seti@Home permet de scruter la pr�sence d'extraterrestres dans l'espace, FightAIDS@Home tente de lutter contre le sida et ComputeAgainstCancer contre le cancer).

Depuis quelques temps, la technologie P2P commence aussi � �tre appliqu�e � des probl�matiques de recherche d'informations. Trouver la bonne information a toujours �t� d�licat sur Internet. La principale faiblesse des moteurs de recherche comme Google ou Altavista peut para�tre paradoxale. En effet, alors que ces outils n'indexent qu'une partie infime des donn�es r�ellement disponibles sur Internet, quand on les interroge ils nous restituent trop souvent une pl�thore de r�ponses peu pertinentes. Puisque chaque jour se cr�ent environ 10 millions de nouvelles pages web, il est clair qu'aucun serveur, aussi puissant soit-il, ne peut r�ussir � indexer efficacement autant de donn�es. Sans m�me parler du web invisible "officiel", ces milliers des bases de donn�es, de brevets ou autres archives qui en aucune mani�re ne peuvent �tre atteintes et index�es par les moteurs de recherche traditionnels (par exemple les archives du journal " Le Monde " ne peuvent pas �tre interrog�es via Google mais uniquement en se rendant sur le site du Monde afin d'interroger la base de donn�es locale). Certains agents de recherche comme Copernic ou BullsEye s'accommodent en partie de ce d�faut en fonctionnant comme des m�ta-moteurs capables d'interroger plusieurs centaines de bases de donn�es diff�rentes. En les personnalisant finement, on peut parfois atteindre une partie bien d�limit�e de ce fameux web invisible " officiel ".

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Carlo Revelli anime une chronique mensuelle sur les agents intelligents pour le Journal du Net.


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